Bolt Action: Section d'Infanterie de l'Armée Française (Anglais)
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En déclarant la guerre à l'Allemagne en 1939, les forces armées françaises étaient supérieures aux Allemands en chars et en navires, mais souffraient d'une doctrine tactique et stratégique obsolète au plus haut niveau. Combattant aux côtés de ses alliés britanniques, l'armée française mena une courageuse action d'arrière-garde qui culmina avec le remarquable retrait d'Europe à Dunkerque. Alors que les Britanniques retournaient en Angleterre, les forces françaises poursuivirent le combat avec acharnement tandis que les Allemands se rapprochaient de Paris…
Si l'on a beaucoup écrit sur les forces blindées allemandes et la défaite des Britanniques à Dunkerque dans les jours sombres de 1940, on a beaucoup trop peu parlé de la vaillante résistance de l'armée française.
L'armée française a débuté la Seconde Guerre mondiale comme l'armée la plus puissante du monde. Bien équipées, dotées d'excellents chars et d'une artillerie de qualité, les divisions d'infanterie étaient nombreuses et confiantes dans leur capacité à combattre les Boches détestés comme elles l'avaient fait vingt-deux ans auparavant. Ce n'était cependant pas la même guerre, et les fantassins français se retrouvèrent trop souvent à combattre des unités blindées allemandes qui les avaient surpassés lors de la Blitzkrieg qui déferlait sur l'Europe.
C'est pour l'honneur de la France et de ses régiments que tant de Français se retranchèrent et combattirent avec acharnement contre un ennemi technologiquement et tactiquement plus avancé. Au moment du cessez-le-feu, ils avaient tué 27 000 Allemands, mais avaient subi des pertes effroyables de près de 100 000 morts et 250 000 blessés. De nombreux Français courageux continuèrent à combattre les Alliés sous le régime de Vichy, suscitant autant d'admiration que de répulsion, tandis que d'autres revinrent en France lors du débarquement allié de 1944 pour reconquérir leur patrie…
Contient une section d'infanterie de l'armée française de 10 hommes :
1 sous-officier avec fusil
1 soldat avec lance-roquettes
2 hommes avec mitrailleuse légère (chargeur avec pistolet)
6 fusiliers
Si l'on a beaucoup écrit sur les forces blindées allemandes et la défaite des Britanniques à Dunkerque dans les jours sombres de 1940, on a beaucoup trop peu parlé de la vaillante résistance de l'armée française.
L'armée française a débuté la Seconde Guerre mondiale comme l'armée la plus puissante du monde. Bien équipées, dotées d'excellents chars et d'une artillerie de qualité, les divisions d'infanterie étaient nombreuses et confiantes dans leur capacité à combattre les Boches détestés comme elles l'avaient fait vingt-deux ans auparavant. Ce n'était cependant pas la même guerre, et les fantassins français se retrouvèrent trop souvent à combattre des unités blindées allemandes qui les avaient surpassés lors de la Blitzkrieg qui déferlait sur l'Europe.
C'est pour l'honneur de la France et de ses régiments que tant de Français se retranchèrent et combattirent avec acharnement contre un ennemi technologiquement et tactiquement plus avancé. Au moment du cessez-le-feu, ils avaient tué 27 000 Allemands, mais avaient subi des pertes effroyables de près de 100 000 morts et 250 000 blessés. De nombreux Français courageux continuèrent à combattre les Alliés sous le régime de Vichy, suscitant autant d'admiration que de répulsion, tandis que d'autres revinrent en France lors du débarquement allié de 1944 pour reconquérir leur patrie…
Contient une section d'infanterie de l'armée française de 10 hommes :
1 sous-officier avec fusil
1 soldat avec lance-roquettes
2 hommes avec mitrailleuse légère (chargeur avec pistolet)
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